Porter des bijoux de la kabbale
La religion juive et la Torah sont remplies d’exemples de femmes stériles qui grâce à leur emouna (foi) et leurs prières ont réussi contre toute attente à donner naissance à de beaux enfants: Sarah, Rachel. Il n’y a rien de plus difficile pour un couple juif de ne pas parvenir à répondre à l’un des commandements reçu sur le Mont Sinaï. Il en va de même pour la femme juive qui peut s’inspirer de ces différentes ségoulot et coutumes décrites par les plus grands kabbalistes.
Segoula pour avoir des garçons
Pour les parents qui souhaitent avoir des garçons, une segoula consiste à faire la brakha (bénédiction) du kiddouch sur du vin et non pas sur du jus de raisin. Il peut s’agir du kiddouch de Chabbat, celui des fêtes juives comme Roch Hachana (nouvel an juif) ou lors de la sortie de Yom Kippour (Grand Pardon). Ce rituel est aussi bien suivi par les ashkénazes (Europe de l’Est) et les séfarades (Afrique du Nord) qui souhaitent donner naissance à des garçons.
Offrir un Sefer Torah (rouleau de la Torah)
La tradition juive mentionne le fait que d’écrire un Sefer Torah est une ségoula efficace pour avoir des enfants. Tout le monde n’ayant pas les qualités requises, on peut également financer son écriture en offrant la tsedaka à une synagogue, un rav, un Talmud Torah, un Beith Loubavtich, ou toute autre communauté juive.
Participer à l’impression et à la diffusion d’écrits de la Torah
Mishna, Talmud, Pentateuque, Livres de Psaumes… En aidant à diffuser les paroles de Torah dans toutes les communautés juives du monde, vous participer à la continuité du peuple juif et à son épanouissement. Il en ira de même avec votre descendance.
Segoulot inspirées par la kabbale
Prendre la couvée d’un oiseau
La Torah, dans la Paracha Ki Tetssé, fait référence à cette mitsva. La première chose consiste à prendre la mère avec sa couvée, ou bien la mère seule. La seconde est de renvoyer la mère oiseau de sur sa couvée. Un couple qui n’a pas eu d’enfants après sept ans de mariage, pourra accomplir cette segoula pour préparer le nouveau nid de l’enfant à venir.
Ajouter un prénom hébreu
Un mari pourra ainsi ajouter le prénom Haim (la vie) et sa femme Haya (vivante). Une coutume juive que l’on peut appliquer en demandant conseil auprès d’un rabbin (orthodoxe, hassidique ou du Consistoire).
Boire une infusion de Saule
Cette tradition juive peut se faire pendant la fête juive de Souccot, car il s’agit de l’une des 4 espèces que les hébreux utilisent pour la prière. Il est donc recommandé de conserver la saule après les célébrations et de s’en servir pour préparer des infusions à boire pendant 1 mois.
Faire vérifier ses mezouzot
Il suffit d’une lettre manquante, effacée ou abimée pour transformer le mazal. Une mezouza casher (conforme à la Halakha)est un bonne segoula pour tomber enceinte, renseignez-vous auprès des synagogues, une instance rabbinique ou centre loubavitch pour les faire vérifier.
Rester joyeux
Ne pas tomber dans le désespoir, rester plein de simha et faire confiance à l’Eternel. Un manque d’Emouna ne peut que compliquer les choses.
Porter des bijoux inspirés par la Kabbale (possédant une force mystique) peut également être une bonne ségoula pour avoir des enfants. Dans la tradition juive, le poisson est symbole de fertilité, il est donc conseillé aux femmes d’en porter un autour du coup. Il en va de même pour les bijoux en argent, dont les énergies positives permettent de repousser le mauvais oeil.